Ski de fond en Vercors
février 2011

avec Christian, Edouard, Elise, Isabelle, Jacques, Jeannette, Jo, Laurence, Maylis, Roger, Simonne, Xavier, Yves

Au jour le jour


dimanche 6 février 2011 regroupement au Collet Auberge Le Collet
St-Agnan 04.7548.1318

encontre impromptue, mais pas tout à fait hasardeuse d'une voiture arrivant d'Annecy et d'une autre venant de l'Essonne, sur l'autoroute, quelques kilomètres avant St-Marcellin ; ce n'est pas le hasard complet car les deux veulent arriver à 5h à l'auberge du Collet, à la Chapelle en Vercors. Pas plus de rendez-vous arrangé par téléphone quand, après St-Marcellin, une troisième voiture venant aussi de l'Essonne se joint aux précédentes pour faire un petit convoi de 9 personnes qui traverse Pont-en-Royans très encombré par toutes les voitures descendant du Vercors en cette fin de dimanche. Petit arrêt aux Baraques pour regarder la petite route, maintenant condamnée, qui débouche des Grands Goulets.

Accueil sympathique à l'auberge, chambres agréables ; les bûches qui se consument dans la cheminée présagent d'un séjour chaleureux. Petite marche avant la tombée de la nuit pour se dégourdir les jambes et constater que la neige n'est pas au rendez-vous, les champs sont bien dégagés.

Après l'arrivée et l'installation des 4 derniers participants nous fêtons ces retrouvailles et l'intégration des trois nouveaux, Elise, Isabelle et Edouard, devant la cheminée, un verre à la main.

Nous faisons honneur au vin de citron

Recette du vin du pendu

Lavez et essuyez un citron. Versez l'eau-de-vie dans un bocal de 1 litre pouvant se fermer (un bocal de conserve par exemple, avec un joint de caoutchouc).
Passez une ficelle ou un fil de coton en travers du citron que vous placez dans le bocal pour qu'il soit à 2 cm du niveau de l'alcool, sans être en contact avec lui ; en fermant le couvercle, le fil restant à l'extérieur, le citron reste «pendu».
Fermez le bocal et vérifiez que l'air ne peut y entrer. Rangez-le dans un endroit frais à l'abri de la lumière. Au bout de 6 semaines environ, ouvrez le bocal, retirez le citron. Filtrez, mélangez le sucre et le vin et mettez en bouteilles.

1. Un vin d'orange peut se préparer de la même façon, avec une orange et du vin rosé.
2. Avec 50cl d'alcool de pharmacie à 90°, prenez 5 litres de vin et 800gr de sucre.

préparé par Xavier. Puis le repas qui suit est de bon augure pour notre séjour, et la qualité sera toujours présente pour les suivants. Menu : pâté de poisson, ravioles de Romans avec magret de canard du Vercors et tarte aux noix, appréciée par tous et par Simonne en particulier. Bon anniversaire Yves (qui offre le vin). Cafés ou tisanes aident à la digestion.

Les dernières nouvelles à propos d'enneigement dans cette partie du Vercors drômois recensent 12km de piste vers Herbouilly et une vingtaine à Font d'Urle.


lundi 7 février Herbouilly Plan des pistes

ous découvrons le petit déjeuner copieux avec pain grillé, confitures maison, mini croissants ou minis pain au raisin ... Un coup d'œil à la fenêtre pour voir le ciel tout bleu et le soleil qui éclaire le haut des montagnes, alors que nous sommes encore dans l'ombre. Nous quittons la table en emportant des thermos d'eau chaude ou de café.

Un peu après 9h30 le soleil arrive devant l'auberge alors que nous partons à trois voitures pour le site d'Herbouilly, situé à 8km au dessus de St-Martin-en-Vercors. Arrêt à La Chapelle pour approvisionnements en vue du pique-nique ; peu de boutiques ouvertes et peu de monde dans les rues ; Xavier y trouve les cartes au 1/25OOOième.

Peu de neige dans la plaine de St-Martin, mais la montée en traversée de la falaise qui la domine nous laisse quelque espoir. En arrivant au parking, très peu de voitures ! Nous sommes dans la forêt et la neige n'y a pas fondu complètement ; comme les quelques pistes ouvertes sont bien entretenues, nous allons avoir la neige suffisante pour skier.

Nous prenons la piste 'Carrefour Royale', de 8 km, qui passe à coté de l'auberge de Roybon et se poursuit dans la forêt clairsemée, ce qui laisse des passages ensoleillés ; la température est clémente et les vêtements trop chauds sont enlevés. Arrivée au Carrefour de la Royale, quelques mètres à pied pour être au point de vue vers Corençon et la Grande Moucherolle. Comme on nous a déconseillé d'aller plus loin pour cause de déneigement, nous revenons pratiquement sur nos pas. Une table en bord de piste est bien placée pour un pique-nique mais avant de s'y arrêter on refait une petite boucle d'un kilomètre pour être sûr d'avoir faim ! Les provisions sont étalées et ce qui sort des sacs fait l'objet d'un partage en onze, afin que chacun y goûte.
Long arrêt au soleil, mais sans chaleur excessive.

Puis nous revenons au parking et partons sur la piste du Col d'Herbouilly (9km) qui recevant plus de soleil est quelquefois déneigée sur quelques mètres. Peut être le déneigement s'explique aussi par le fait d'être sur une route goudronnée et, avec seulement 3 cm de neige même bien tassée, le rayonnement du soleil traverse cette fine couche puis la chaleur produite en arrivant sur le goudron accélère la fonte.

Du col d'Herbouilly nous faisons un aller-retour au belvédère de Château Julien, en marchant presque tout le temps car sur cette route forestière la pente est relativement soutenue pendant plus d'un kilomètre et de plus le sol inégal n'est pas préparé pour les skieurs. Nous y sommes souvent à l'ombre donc sans avoir trop chaud malgré le soleil toujours présent. Retour à la porte d'Herbouilly après un détour à l'auberge de Roybon pour se désaltérer en fin de journée.

Dans la journée, Xavier et Simonne font une ballade à pied, presque au sec vers la plaine d'Herbouilly, le vallon du Riou et le plateau du Château Julien (1528 m) ; de là magnifique vue sur la grande Moucherole et toute la barre Est du Vercors. A la descente, ils croisent les fondeurs montant vers Château Julien et les retrouveront bien sûr à l'auberge de Roybon. Ils ont vu aussi des chamois, paissant dans la plaine d'Herbouilly.

De retour à l'auberge du Collet, après une bonne douche, apéritif dans une des chambres pour arroser notre séjour ; mais est-il vraiment nécessaire de justifier le plaisir d'un apéritif ? Cette fois nous faisons honneur au vin de citron et au vin d'orange.

Puis le repas nous fait découvrir les caillettes chaudes de la Drôme, filets de truite et crème brûlée.


mardi 8 février Font d'Urle Plan des pistes

e démarrage de ce deuxième jour se fait autour du petit déjeuner avec autant de plaisir que celui de la veille ; coté météo, encore une belle journée. En passant par La Chapelle-en-Vercors, puis au Mémorial de la Résistance de Vassieux nous rejoignons la petite station de Font d'Urle, dans la Drôme à quelques quarante kilomètres de Valence. Au parking de « Chaud Clapier » peu de voitures et quelques cars ayant emmené des groupes d'enfants pour une journée de sport : ski de piste ou ski de fond.

Aujourd'hui Christian, Jeannette et Roger s'équipent en matériel de skating, prélude à l'apprentissage de cette technique. Nous prenons la piste qui va au Col de la Mure (5km) puis vers la Pelouse du Lièvre Blanc (ne pas s'attendre à du gazon anglais ! c'est en fait une clairière). Allons ensuite vers Pré Bellet (4km) , et comme la piste vers le col de Carri est déneigée, nous revenons vers le refuge de Crobache. Toujours temps sec ensoleillé et sans vent. Long arrêt pique-nique sur une zone déneigée en vue du refuge, bien appréciée par Edouard pour une sieste, sans doute jugée un peu courte.

N'avons pas rencontré plus de dix personnes, une fois qu'on a quitté le secteur proche du parking. Retournons vers Chaud Clapier où nous arrivons vers 15h30., Un peu de fatigue se fait sentir ce deuxième jour car quelques uns s'arrêtent alors que les autres repartent pour une petite boucle de 2 km permettant, pour Jeannette et Roger de continuer l'apprentissage du skating, bien encadrés par Jacques, très attentif à corriger les mouvements désordonnés et inutiles des novices.

De leur coté, les marcheurs, font dans la journée, une très belle ballade à pied vers les crêtes au dessus de Font d'Urle, de la Serre de Montue (1692), à l'ouest, puis vers l'est au Puy de la Gagère (1651 m) en passant par la Porte d'Urle (1496 m.), un accès piéton au Diois. Pas mal de vent sur ces crêtes sud du Vercors, qui offrent de magnifiques vues vers les montagnes de la Drôme e du Diois.

Puis tout le monde se retrouve sur la terrasse du café, en plein soleil, endroit très propice à l'attente et à la prise de photos de groupe.
De retour à l'auberge, après la douche, nous avons droit à une séance théatre : un monologue d'une heure et demi, présenté par Christian dans le petit salon de l'auberge mis à notre disposition.
Il a créé le texte d'après le livre : Novecento, pianiste

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, d'Alexandre Baricco.

Pendant l'entracte Edouard, en jouant du rag-time, du fox-trot sur son piano déroulant, nous garde dans l'ambiance de cette pièce évoquant une salle de bal d'un grand paquebot transatlantique.

Repas gastronomique à nouveau avec mise en bouche par un consommé de lentilles, suivie par une pintade farcie ...
Comme la veille, une liqueur de gentiane

Remarque :
La gentiane jaune est une plante au goût amer puissant qui entre dans le confection de nombreux apéritifs traditionnels.
Consommé une demi-heure avant un repas, tout apéritif à base de gentiane, stimule les sucs gastriques et prépare efficacement l'estomac à une meilleure digestion d'un repas lourd et copieux. ... voir la page complète

Mais encore ...
La Gentiane jaune est une plante médicinale. Ses propriétés thérapeutiques principales sont ses vertus digestives. La Gentiane jaune facilite la digestion, permet de lutter contre la constipation, stimule l'appétit et la sécrétion de salive. Elle a été aussi utilisée pour lutter contre la fièvre, comme vermifuge et comme tonique général. Ce sont les racines qui sont utilisées. ... voir la page complète

est bue par des ignorants de la bonne pratique de la gentiane, puisqu'ils persistent dans l'erreur de ne pas la consommer avant le repas !


mercredi 9 février au dessus du Col du Rousset

e matin Xavier ne retrouve pas son appareil photo ; la dernière photo qu'il a prise était sur la terrasse du bar, hier en fin d'après midi et sans doute l'appareil photo est resté sur la table. Après un coup de téléphone, pas d'appareil rapporté au comptoir !

Programme de la journée : marche pour la plupart et ski de fond pour les mordus au-dessus du col du Rousset, au pied du Grand Veymont. Cela paraît assez long donc on commence la journée un peu plus tôt.
En voiture nous faisons la quinzaine de kilomètres jusqu'au « parking de Beurre », au dessus du col du Rousset ; il y a très peu de véhicules. Le ski de piste est quasiment impraticable à cause du manque de neige.

Nous montons dans les près déneigés, traversons le tire-fesse de l'Echelette qui, de façon surprenante tourne, sans aucun skieur ! En fait le fond du vallon qui le borde est soigneusement entretenu pour y permettre une descente en ski !

Nous dépassons le Chalet des Ours, descendons, en traversée dans la Combe Male puis c'est le pas des Econdus (1546), sa vue vers le Diois, et les balcons de Glandasse. On marche facilement car il y a peu de neige, et elle est bien transformée? Cinq personnes portent leur ski espérant en avoir plus sur haut du plateau.


Josiane et Roger redescendent pour rejoindre leur nièce et ses deux filles venues de Grenoble pour profiter du soleil si ce n'est du grand enneigement.

Toujours en direction de l'est montée à la cabane de Pré Peyret, et de là léger changement de direction (nord-est) pour atteindre l'ancienne carrière romaine au pied de la Tête de la Graille. Montée vers le col des Bachassons puis le groupe se sépare au niveau d'un curieux arbre solitaire, appelé arbre taillé au pied du col des Bachassons. Avant la descente Yves s'approche du haut de la grosse molaire du Mont Aiguille.

Les skieurs font une descente exécrable dans de la neige croûtée ; ça s'arrange vers le bas au point que Yves a trop pris d'avance ; longue route de retour par le plateau, en solitaire et il ne retrouvera les quatre autres skieurs qu'une heure et demi plus tard, ce qui permet pas mal de cogitations, aux uns et aux autres, pendant tout le temps de cette absence. Arrivée au parking à 18h40.

De leur coté, les marcheurs reviennent par le même chemin qu'à aller profitant cette fois des vues vers l'ouest et du coucher de soleil. Glissade, douloureuse pour le coccyx d'Edouard sur une plaque de glace. Arrivée aux voitures après 17h.

Vers 19h tout le monde se retrouve devant la cheminée, Roger créant avec sa guitare l'ambiance chansons des années 50 ; Brassens principalement est chanté. Deux bouteilles de vin de Loire (Ménetou-Salon vieilles vignes de 1996), passées par Annecy dans la cave d'Edouard, viennent rehausser la chaleur de ce moment.
Quelques mots échangés avec un ami du patron, arrivant du Caire car son employeur, par précaution par rapport aux événements et manifestations en Egypte, l'a renvoyé en France. Il parle de manifestations pacifiques et d'aucun indice d'hostilité vis à vis des étrangers.

Au repas deux tartiflettes, l'une au reblochon, l'autre au bleu du Vercors qui sont grandement appréciées ; une tarte avec boule de glace en guise de conclusion. Edouard réaffirme son coté épicurien : « comme on ne conduit pas, on peut après quelques verres qui ont accompagné la fondue, s'en jeter une - de liqueur de gentiane - derrière le gosier ». Il n'est pas le seul dans cette démarche.
Puis encore quelques chansons devant la cheminée avant de se coucher.


jeudi 10 février Mémorial & Chaud Clapier Mémorial de la Résistance
Vassieux 04.7548.2600

n peu de fatigue au réveil, due à la longue marche de la veille, mais elle se dissipe au cours du petit déjeuner copieux que nous prenons ; elle disparaît totalement avec la perspective d'une nouvelle journée toujours ensoleillée.

Aujourd'hui activité physique moins importante.
Dans la la matinée nous allons visiter le Mémorial de la Résistance

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  ... visite virtuelle

situé au dessus de Vassieux, avant le col de Chau. Ambiance sombre et dépouillée pour rappeler ces heures difficiles, avec des témoignages sonores de survivants de cette époque où les répétitions sont inévitables. La sortie, par la terrasse, offre une vue impressionnante sur Vassieux et la "piste d'aviation" inutilisée par les alliés. Nous terminons un peu avant midi ; en passant au col de Chau nous voyons quelques traîneaux avec les attelages de chiens, toujours bruyant à l'arrêt, prêts à promener des clients sur une piste soigneusement entretenue pour qu'elle garde sa neige.

Pique-nique à Chaud Clapier, en dessous du parking, dans une ambiance cour de récréation d'école primaire créée par les enfants mangeant et jouant en attendant la reprise des cours de ski de l'après-midi. Il nous est très facile de trouver un emplacement ensoleillé et déneigé où on peut même être assis au sec.

L'après midi, quatre groupes. Jeannette, Laurence marchent jusqu'au Serre de Montué (1706m), sommet de la station. Elise, Maylis, Simonne et Xavier descendent sur Vassieux, traversent toute la plaine et rentrent à pied au Collet. Christian, Isabelle, Jacques, Jo, Roger et Yves font du ski ; pour Christian et Roger c'est encore du skating, en confirmation d'une parole attribuée à Guillaume d'Orange :Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Edouard repose son coccyx.

En soirée nouvelle prestation de Christian : la mort viennoise

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, conte qu'il a écrit à partir d'un livre de Christiane Singer, sur la peste qui a ravagé Vienne en 1679. Pendant l'entr'acte nous prenons un peu de distance par rapport à l'atmosphère dure qui se dégage du texte, avec une goutte de ratafia ; et puis comme pour tout alcool, ses vertus désinfectantes nous rassurent par rapport à une contagion possible.

Nous apprenons que Xavier a retrouvé son appareil et toutes les photos qu'il contenait ; l'appareil s'était caché (tout seul ?) dans un tiroir de sa chambre. Au repas : andouillette en croûte et en dessert une poire enrobée de chocolat à se lever de table avec des moustaches en chocolat. Enfin, pour ce dernier jour, Jacques et Roger font les comptes devant la cheminée et quelques chansons terminent la soirée.


vendredi 11 février Autrans Pistes de ski de fond

ernier petit déjeuner à l'auberge ; après avoir vidé les chambres nous partons pour la dernière journée de ski à Autrans, station bien connue pour le ski de fond. La route passe près de l'eau, dans les gorges de la Bourne, canyon très resserré ne recevant pas le soleil ; il doit y faire froid car quelques morceaux de stalactites de glace ont été balayés sur le coté ; un peu plus loin nous voyons une cordée dans le bas d'une coulée de glace.

Bientôt les bords se désserrent, le fond s'élargit et de petits prés bordent la rivière. Nous arrivons alors à Méaudres et l'habitat change ; ce n'est plus l'habitant campagnard, un peu austère mais des petites maisons récentes et un air de station touristique aérée. Changement à nouveau en arrivant à Autrans, station très touristique, avec présence d'un plan de circulation et sens interdits, rues à sens unique, grands parkings, bus énormes, marqués « navette » alors que ce diminutif fait penser au petit objet que la tisseuse lance entre les fils de chaîne du métier à tisser. Bref nous sommes loins des aspects rustiques, campagnards ou montagnards rencontrés les jours précédents.

Nous laissons les voitures au centre nordique, louons le matériel, achetons les forfaits et à 11h30 nous sommes dans une navette, avec une vingtaine de skieurs - nous n'en avons pas vu autant depuis le début de la semaine - qui nous véhicule sur 5km jusqu'au plateau de Gève.
Il y a plus de neige que les jours précédents mais on voit tout de même des tas de 4m de haut, fabriqués par les canons à neige et conservés pour pallier à l'absence de chute.

Après avoir traversé le pré de Gève nous prenons la piste du Cyclone pour une petite boucle. Nous croisons des fondeurs qui font une compétition de biathlon. La légéreté apparente de leurs déplacements, même dans les montées est toujours une surprise. Après 5km, avant d'être à nouveau à Gève nous trouvons une table au soleil et ses bancs qui nous invitent au pique-nique. Comme les précédents, il se termine par la tablette de chocolat que Laurence fait circuler. Malgré des passages d'enfants reprenant les cours de ski de l'après midi, montrant ainsi que l'heure est bien avancée nous profitons encore un peu du soleil.

Ensuite petite boucle, sans trop de pente pour que les apprentis skaters terminent le séjour avec l'impression d'avoir progressé, puis nous prenons la piste de retour jusqu'à Autrans. Au fur et à mesure de la descente la neige est de moins en moins blanche, contenant de plus en plus d'eau. En arrivant à Autrans la piste est réduite à 2m de large.

Un dernier regroupement à la terrasse d'un bar sur la place d'Autrans puis c'est la dislocation, une voiture pour l'Essonne, une pour Annecy et deux pour Grenoble.

Merci Jacques pour l'organisation de ces journées
et d'avoir su
pallier l'absence de neige par cette splendide luminosité

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Feuille de route


Jacques propose quelques jours de ski de fond et/ou raquettes dans le Vercors à partir d’un point fixe pas encore décidé.
L’intérêt est de ne pas avoir de problèmes de transport de bagages et des déplacements en voiture limités. 
Il y a de nombreux sites, variés.

Hébergement : Auberge Le Collet entre La-Chapelle-en-Vercors et Saint-Agnan-en-Vercors 

Sorties possibles en ski :

    1.	Roybon - Plaine d’Herbouilly - Château Julien (voir photo) : belles vues dégagées sur la plaine et sur les sommets du bord Est du Vercors

    2. Roybon - Corrençon par la Coinchette (voir photo) : plusieurs très belles clairières et belles vues sur le centre du Vercors

    3. Hauts plateaux au col de Rousset : superbe ! mais pas de pistes tracées. Il faut du beau temps pour la vue mais aussi pour la sécurité. 
      On est sur des plateaux peu boisés offrant des vues dégagées très loin vers le Nord. Paradis pour les balades à raquettes.

    4. Autrans : la piste jaune (environ 20 km) est extraordinaire par sa variété et son relief (alternance de courtes montées et descentes). 
      Plusieurs possibilités d’échappatoires et à mi-chemin un refuge gardé propose une bonne restauration. (peut-être un peu loin !)

    5. Font-d’Urle et Lente : à découvrir. 

Sorties possibles en raquette :

Le coin Vassieux et au col du Rouss est superbe avec une vue étendue sur le Diois allant jusqu’au Ventoux.

  • 1. Roybon : Belvédère de Château Julien, Brèche de Chalimont

  • 2. Autrans :
      → 75 km de sentiers raquettes ou piétons balisés au départ du village ou de Gève.
      → Zones vierges de tout damage et de tout balisage à découvrir avec les professionnels de la montagne : Bec de l'Orient, Nave, Bellecombe, La Molière.

  • 3. Col du Rousset : Pas des Econdus, Pré Peyret

  • 4. Vassieux :
      → Voir le site de  la commune 
      → à l’ouest du col du Rousset, depuis le col ou depuis Vassieux : But de Nève, But de l’Aiglette
      → Glacière de Font d’Hurle et Puy de la Gagère 

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Infos

Divers liens

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